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  • : Le blog de japerbur
  • : Tout ce qui se passe dans mon environnement urbain m'intéresse. Je vis à Courbevoie, ville certainement privilégiée par rapport à beaucoup d'autres. Bien des choses toutefois ne me plaisent pas et je n'ai pas la possibilté de les exprimer.J'aimerai que les lignes bougent pour aller vers une meilleure qualité de vie, environnementale et sociale.
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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 17:05

09 3579093Un arrêté du ministère de l'Environnement stipule qu'à partir du 1 juillet 2013 les vitrines devront être éteintes à partir de 1 heure du matin ou au plus tard 1 heure après la cessation de l'activité. Pour les bureaux l'éclairage devra être éteint 1 heure après la cessation de l'activité. Même si les dispositions auraient pu être plus contraignantes en particulier pour les vitrines c'est un premier pas pour réduire le gaspillage d'énergie.

 

Il reste toutefois beaucoup à faire pour retrouver la nuit. Des communes de taille petites ou moyennes il est vrai éteignent la totalité de leur éclairage public à partir de 23 heures. Dans les grandes villes la situation est certes différente. Mais a t'on besoin d'éclairer toute la nuit ? Ne pourrait-on pas réduire le nombre de lampadaires allumés ? Un tiers ou un quart de l'éclairage devrait largement suffire à partir de 22 heures. Nombre de lampadaires sont très énergétivore et ont un rendement lumineux déplorable.

 

L'éclairage public représente pour les communes 50% de leur consommation d'électricité. L'ADEME estime le potentiel de réduction de la consommation d'énergie pour l'éclairage public de 50 à 75% !

 

La nuit est faite pour le repos dans le noir. A moins que nous voulions admirer le ciel étoilé. Dans les deux cas l'éclairage public nous en empêche. Tout comme il détruit les insectes attirés par la lumière. On estime que chaque lampadaire tue 150 insectes par nuit en moyenne.

 

Pour en savoir plus voir le site Internet de l'association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturne : www.anpcen.fr

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 07:57

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Ces magnifiques peupliers n'existent plus. Plantés le long du quai du Maréchal Joffre à Courbevoie ils ont été récemment abattus. La mairie interrogée nous informe que cette opération a été réalisée par le Conseil Général en précisant  que « l'état phytosanitaire de ces peupliers a motivé cette opération (risque de chutes sur la voie publique) ».


Curieusement les peupliers plantés au-delà du pont de Levallois-Perret dans le prolongement de ce quai n’ont pas été touchés. Un examen visuel de ces arbres ne fait pas apparaître un état alarmant. Leurs racines ne font de dégâts ni sur la chaussée ni sur le trottoir.


On peut donc légitimement s'interroger sur le bien fondé de cet abattage. Le principe de précaution de plus en plus abusif dans bien des domaines aurait il encore sévi ?


Un arbre est un être vivant qui mérite tout autant d'attention qu'un animal ou un être humain. Ce ne devrait être qu'en dernière extrémité que l'on devrait l'abattre fut-il âgé et malade. Sinon cet acte devrait être qualifié d'arbricide.

Nous interrogerons le conseil général pour obtenir plus d'information. 

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 15:05

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La rue de la Liberté à Courbevoie a été entièrement refaite dans le courant de l'été 2012. Cette rue très commerçante est située dans le quartier de Bécon.


La prestation est de qualité : petits pavés sur la chaussée, réverbères à l'ancienne, bacs à fleurs originaux. Pour réaliser ce travaux il n'aura pas fallu moins de 5 mois pour un tronçon de voie de 150 mètres. Le budget a du être conséquent.


Las, la circulation routière et le stationnement des véhicules ont été maintenus. Un enquête de "voisinage" aurait conclu à la nécessité de maintenir un stationnement pour les clients venant acheter leur baguette ou pour  se fournir chez le meilleur traiteur de la ville. Les commerçants auront donc pesé fortement sur la décision qui a été prise.


Et pourtant durant les travaux il n'y a pas eu de perturbation de la circulation dans le quartier. Les automobilistes ont trouvé des alternatives pour venir faire leurs achats. Et puis il y a un parking au bout de la rue qui a toujours des palaces libres. Enfin les clients sont essentiellement des habitants du quartier qui viennent faire leurs achats à pied.


Ainsi on peut observer que les véhicules stationnés sont souvent ceux des commerçants riverains ou des visiteurs dans notre ville qui ont trouvé un lieu accueillant pour s'arrêter. Le stationnement est payant mais bien peu de tickets sur les pare-brises et aucun PV sous les essuie glaces n'ont  été observés.


Dommage de n'avoir pas été jusqu'au bout dans la recherche de la qualité de l'environnement. Quel plaisir inégalé de pouvoir marcher dans une rue piétonne. La vue est dégagée, l'architecture des bâtiments peut être appréciée, le bruit des moteurs ne vient pas troubler la promenade, on peut déambuler en toute quiétude sur la chaussée sans se préoccuper de la circulation et cerise sur la gâteau l'air y est un peu moins pollué que dans les rues voisines.


Oui dommage. Mais restons optimistes ce n'est pas irréversible. Il suffit d'une prise de conscience des citoyens qui s’exprime pour que la volonté politique suive !

 

 

 

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 20:59

 

Photo0046AVoici le spectacle que l'on peut découvrir une fois par semaine dans la ville de Courbevoie. Les encombrants peuvent être déposés sur le trottoir chaque mercredi. Cette organisation a été décidée suite à la fermeture de la déchetterie de la ville. Il y avait même possibilté au départ de déposer ses encombrants trois fois par semaine. Autant dire qu'il y avait des ordures sur les trottoirs quasiment tous les jours. Une fois par semaine est devenu plus raisonnable. La facilté reste toutefois importante. Dans certaines villes voisines il faut prendre un rendez-vous pour faire enlever ses encombrants.

 

Alors est-ce une bonne organisation ?

 

Comme toujours il y a le pire et le meilleur.

Dans le positif nous avons déjà évoqué le confort pour le Courbevoisien. Et puis il y a aussi un recyclage spontané qui s'est organisé. Les passants regardent et récupérent ce qui peut les intéresser. Il y a aussi les professionnels qui font leur tournée avec leur fourgonettes.

 

Par contre cette facilité est un appel d'air pour les habitants des communes voisines qui viennent déposer leur ordures à Courbevoie. De même des professionnels peu scrupuleux abandonnent leurs gravats et autres résidus de travaux. Et puis on peut s'interroger sur le recyclage de ces ordures. On peut laisser sur le trottoir non seulement des meubles, de l'électroménager mais également du matériel plus sensible tel que le petit matériel électrique. Le matériel dangereux doit être apporté à la déchetterie. Mais ne voit on pas des pots de peinture ou autes produits toxiques déposés sur le trottoir?

 

Alors comment sont récupérés ces  "encombrants". Sont ils vraiment triés par nature de produits. ? Vont ils être recyclés en totalité ou en partie ? Tout risque de contamination est il éliminé ?    

 

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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 11:40

tour-first.jpg

 

Avec ses 231 mètres la tour First de la Défense est la plus haute tour de bureaux de France. Elle sera la première en France à obtenir le label HQE (Haute Qualité Environnementale). La consommation en énergie est réduite à 80 kWh/m² et par an ce qui est tout à fait remarquable.

 

Il serait intéressant de vérifier que la consommation réelle est conforme aux prévisions d'origine. Etait il prévu de laisser fréquemment tous les bureaux éclairés la nuit ? On peut s'interroger sur la raison de cette illumination nocturne indécente. Raison technique pour l'entretien ? difficile à imaginer. Travail de nuit des équipes ? Surement pas dans la totalité de la tour. Réveillon la nuit de la Saint Sylvestre ? Ce n'est pas possible.

 

 

Qui nous donnera une explication sur cette surconsommation à l'heure de l'énergie rare et chère ? Faire une tour HQE c'est très bien pour autant que l'on sache éteindre la lampe dans la pièce que l'on vient de quitter.

 

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